
« L’élaboration de cette base de données a été entreprise afin d’étudier les conditions de la disparition des « Complaintes criminelles » – c’est-à-dire des textes chantés racontant dans un but informatif et/ou édifiant les détails d’un authentique fait divers criminel – sur le territoire français. Tout autant que la « fin d’un genre », la mutation de ce media populaire en ce qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui la « chanson réaliste » est au centre de ce chantier, autant historique que musicologique. » (Criminocorpus)
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